Gilles Hertzog est en Égypte, avec BHL. Après la fête hier soir sur la place Tahrir, aujourd’hui la politique. Et le désenchantement.
Le soutien européen de Gilles Hertzog et Bernard-Henri Lévy aux partisans de cette « seconde révolution orange ».
Lévy, en Libye, fut à l’exemple de Byron, d’Annunzio, Lawrence, Malraux, Orwell, ces lettrés requis par une haute nécessité, s’ingérant dans la guerre.
Gilles Hertzog et Bernard-Henri Lévy sont en Égypte. Rencontre avec l’ambassadeur Jean Félix-Paganon, et des personnalités égyptiennes.
Gilles Hertzog est, avec Bernard-Henri Lévy, au Caire. Choses vues, dix jours après la chute de Moubarak.
Dans un chat sur le site du « Monde », BHL assure qu’il n’a pas pris la place du ministre des affaires étrangères, Alain Juppé, dont il dit qu’il fait « très bien son travail », en soulignant que cela n’a pas toujours été le cas, en Bosnie.
Au Caire, Bernard-Henri Lévy a rencontré les activistes du soulèvement, des intellectuels, des femmes, des blogueurs. Paroles délivrées entre espoir et joie.
Comment tant d’esprits raisonnables peuvent-ils accueillir comme une bonne nouvelle cette réconciliation Fatah/Hamas ?
L’idée raciste d’une « exception arabe » rendant cette partie du monde rétive, par essence, à l’idée de démocratie, est fausse.
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